Objectifs :
• Sensibiliser à toutes les natures de handicap, visibles et invisibles,
• Effacer les idées reçues négatives sur les personnes en situation de handicap au travail,
• Développer l’altérité et la solidarité au sein des équipes.
Public :
Les salarié.e.s des entreprises du secteur privé et les managers et agent.e.s du secteur parapublic et des fonctions publiques d’Etat, Territoriale et Hospitalière.
Caractéristiques :
• Durée : 60 minutes, intégrant les temps d’échanges avec les participants
• Nombre d’intervenants : 2 conférenciers (Benoît PINTON, et Béatrice FERRIER)
• Conseil d’utilisation : La conférence théâtralisée et interactive "100 % du possible" permet de sensibiliser au handicap par un témoignage poignant et inoubliable. La SEEPH, Semaine Européenne pour l’Emploi des Personnes Handicapées et le DuoDay sont bien entendu des incontournables pour la conférence.
L’intervention peut aussi être organisée tout au long de l’année. Grâce à ses effets dynamisants et extrêmement positifs "100 % du possible" répond également aux attentes de cohésion, de transversalité et de performance au sein d’une équipe. Elle peut donc être représentée pour lever les idées reçues sur le handicap mais aussi pour donner envie de "performer" ensemble.
• Organisation de l’intervention : nous intervenons dans tous lieux : salle de réunion, salon d’hôtel, théâtre... Un espace scénique minimum de 4m x 3m et une loge sont à prévoir.
• Déroulement d’une intervention : Par un effet théâtral immédiatement captivant Benoit PINTON entre en scène et interrompt Béatrice FERRIER qui ouvre la séance. Benoit raconte alors, avec humour et émotion, son histoire en alternance avec des interventions de Béatrice qui rythment les échanges.
Benoit dit tout : son accident, ses difficultés, les moqueries, ses rencontres, ses performances, ses exploits, en se centrant sur sa vie professionnelle et sur les idées reçues qu’il a dû affronter (confrontation aux stéréotypes et à la stigmatisation).
A l’issue de son récit, un temps d’échanges avec le public est prévu. Benoit répond librement à toutes les questions et Béatrice enrichit le débat par des apports pédagogiques sur le handicap.
Un spectateur a dit : "Il nous amène avec lui, tout le long de son histoire, et nous fait grandir et comprendre beaucoup de choses."

Présentation de Benoît PINTON :
Comment un enfant de six ans tenu pour mort sur le bas-côté d’une autoroute a-t-il pu devenir une dizaine d’années plus tard et 8 années de suite Ironman international de triathlon ? Comment a-t-il pu réussir une carrière dans le secteur bancaire et, ensuite, devenir conférencier ?
Benoît Pinton renaît à l’âge de six ans, sortant d’un coma profond après un accident de la circulation. C’est en 1984. Totalement amnésique, il réapprend tout dans un corps devenu hémiplégique. Pourtant il ne cesse de parler de chance : avoir bénéficié de secours rapides au moment de l’accident, avoir été sélectionné pour recevoir des soins pendant dix-huit mois, avoir eu des parents qui ont vite misé sur l’éducation en milieu valide, avoir croisé Boris Cyrulnik, grand spécialiste du cerveau… Ses treize ans de rééducation font du jeune homme un grand sportif. Son témoignage est édifiant. L’histoire de Benoît Pinton est emblématique de la résilience car c’est en même temps celle de ses tuteurs de résilience. Benoît Pinton ne s’en est pas sorti seul. Ses parents, ses médecins, ses rééducateurs, ses camarades de classe, ses entraîneurs, ses coaches, ses collègues de travail, ses managers, ses amis se sont succédés pour lui permettre de se tenir debout, de marcher droit et de courir… de plus en plus vite.
L’histoire de Benoît PINTON est retracée également dans :
• Un livre : « Le merveilleux malheur de Benoît PINTON » (Auteurs : Anne-Sophie Rochegude et Benoît Pinton, Editions Philippe Duval - 2013)
• Un film : « Tout ce qui ne tue pas rend plus fort » (Réalisateur : Michel Akrich - 2010)